Comment établir de bonnes relations?

Publié le : 21 octobre 202013 mins de lecture

Tout au long de notre vie, on a vécu avec des centaines, voire des milliers de personnes qui influenceront notre chemin d’une manière ou d’une autre. Que ce soit au travail, à l’école, à l’université, dans les relations amoureuses ou en famille, il est essentiel de savoir comment interagir avec les types de personnes les plus différents et cultiver de bonnes relations. Plus qu’une question sociale, savoir bien se comporter avec ceux qui font partie de votre routine a trait à la survie. Nous sommes des êtres sociables, nous vivons dans une société interconnectée et interdépendante, et si nous ne savons pas comment cultiver la politique de bon voisinage, nous risquons d’avoir des problèmes à un moment ou à un autre de notre vie. Nous sommes souvent si attachés à nos problèmes, à nos propres questions internes, que nous oublions à quel point il est bon de construire de bonnes relations avec les autres. Dans ce cas, l’aide d’un psychologue est indispensable pour vous faire trouver votre équilibre et apprendre à gérer vos émotions par rapport aux autres et à vous-même.

Comment établir de bonnes relations ?

Nous, les humains, aimons être compris et acceptés à tous égards. Cependant, dans une culture qui place toute victoire personnelle au-dessus des relations fructueuses et des réalisations de groupe, il faut s’attendre à ce que notre capacité à développer de bonnes relations ne soit pas très développée. Mais certaines attitudes peuvent être adoptées pour contourner ce problème et vous permettre d’apprendre à mieux vous entendre dans vos relations interpersonnelles.

1 – Comprendre que les gens sont différents : comprendre que les gens ne pensent pas tous de la même façon, n’agissent pas tous de la même façon et ne vivent pas de la même façon est la première et la plus importante étape pour cultiver de bonnes relations. Une fois que vous aurez compris et accepté les différences, il sera beaucoup plus facile de vous ouvrir à la nouveauté, à ce que vous ne voyez pas dans le miroir.

2 – Etre tolérant : après avoir compris que nous sommes tous différents et que nous vivons différemment, nous devons faire preuve de tolérance. Il est parfois très difficile d’accepter certaines idées et visions du monde complètement différentes des nôtres. Mais le plus important n’est pas de juger, mais d’être tolérant, de comprendre et d’accepter que chacun est libre de penser ce qu’il veut – tant qu’il ne réalise pas les droits d’une autre personne. Être tolérant est un moyen d’avoir plus de paix, de cultiver des relations plus saines et de combattre les sentiments négatifs.

3 – Apprendre à écouter et à comprendre : dans un monde de plus en plus individualiste et égocentrique, un geste aussi simple est souvent sous-estimé : apprendre à écouter, c’est montrer que l’on s’intéresse à l’autre, que l’on valorise autre chose que soi-même et que l’on respecte les idées d’autrui. Écouter sans juger, sans interrompre et en essayant toujours de faire preuve d’empathie, c’est-à-dire se mettre à la place de ceux qui s’ouvrent à vous. Essayer de comprendre ce qui se passe dans la tête de l’autre est essentiel pour cultiver une bonne relation. La recherche d’un psychologue vous aidera à identifier les cas où vous êtes très fermé dans vos propres opinions et concepts, et où vous ne vous ouvrez pas pour écouter et comprendre l’autre.

4 – Faites confiance à l’autre : ce n’est pas parce que quelqu’un vous a donné une raison de ne pas faire confiance que les autres ne sont pas dignes de votre confiance non plus. C’est la base de toute relation – qu’elle soit professionnelle, romantique ou amicale – et elle doit exister pour que la relation soit saine. Faites confiance aux gens jusqu’à ce que vous ayez des raisons de ne pas le faire. En outre, il convient de rappeler que la confiance est une voie à double sens : tenez votre parole et soyez digne de confiance. Sans cela, il n’y a pas moyen de construire une bonne relation.

5 – Ne prenez pas tout personnellement : apprenez à vous détacher de certaines petites choses qui vous gênent dans la vie de tous les jours. Il est très difficile d’établir un lien avec quelqu’un qui s’offense très facilement, qui analyse tout ce qu’on lui dit, qui semble toujours suspect et qui perd très facilement le contrôle. Faites confiance à votre batte et ne laissez pas de petits problèmes changer votre humeur. Il est souvent difficile de travailler sur ces questions de routine, de tous les jours. Le manque de confiance en soi, l’estime de soi et les problèmes de confiance en autrui font de la construction de relations saines une tâche ardue et très difficile. Dans ces cas, un psychologue professionnel peut aider à identifier ce qui bloque le chemin et à voir la situation d’une manière différente, grâce à la psychothérapie.

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Les principes d’une bonne gestion de la relation client

1 – Personnaliser les échanges

Passer d’une communication de masse à une communication individualisée et calibrée pour chaque client grâce au marketing automation. Autant que possible, essayez de personnaliser la communication avec chaque clients en tirant parti des informations personnelles dont vous disposez sur eux ainsi que du tracking de leurs actions. Par exemple, ajouter le prénom de vos clients dans vos emails vous permettra d’augmenter vos taux de conversion. Mais plus important encore, un email envoyé au bon moment et répondant à une action spécifique d’un client sera bien plus efficace qu’une campagne emailing de masse. Pour mieux adapter vos communications avec vos clients, la meilleure solution est de mettre en place des scénarios de marketing automation. Le marketing automation consiste à automatiser les communications en fonction de conditions prédéfinies qui prennent en compte le comportement du destinataire. Par exemple, un client qui vient de s’inscrire sur votre site recevra des conseils pour compléter son profil et une présentation des différents services proposés, un client dont c’est l’anniversaire recevra une promotion spéciale, etc. Vos messages sont ainsi plus opportuns car ciblés pour chaque utilisateur en fonction de son progrès dans le parcours client.

2 – Connaître vos clients

Récoltez les bonnes informations et traquez les bons indicateurs pour adapter vos communications au parcours de chaque client. Vos clients sont tous différents. Ils diffèrent dans leurs modes de consommation, dans la façon dont ils se comportent sur votre site, dans la manière dont leur attention est interpellée – en plus de différer en tant qu’humains. Analyser les données que vous avez à votre disposition sur vos clients vous permet d’être plus efficace dans votre marketing. Un bon moyen de connaître le degré d’intérêt de vos clients pour vos offres et leur degré d’avancement dans le parcours d’achat est de mettre en place un système de lead scoring et de lead nurturing : cela consiste à attribuer automatiquement un score à chaque client en fonction de leur comportement sur votre site et de leurs interactions avec vos campagnes marketing. Qualifier ainsi vos clients vous permettra de les contacter avec un message plus pertinent, mais aussi de prioriser vos efforts sur ceux qui offrent le plus de potentiel.

3 – Assurer la cohérence de la marque

Rassurez vos clients en adoptant un message et une identité graphique cohérentes sur les différents canaux de communication. Pour ne pas perdre le relation client, il est important de travailler sur l’identité de votre entreprise : celle-ci doit être reconnaissable immédiatement dans vos communications, quelque soit le canal employé. En décidant d’un wording pour votre entreprise, vous communiquez son identité simplement et restez cohérent. Vos clients se souviendront de ces mots-clés au moment de penser à votre marque. Mais la cohérence de la relation client à travers les différents canaux ne doit pas se limiter uniquement au message de votre marque : c’est l’expérience toute entière qui doit être homogénéisée. Par exemple, il est important que votre newsletter présente la même identité graphique que votre site, voir même qu’elle inclue une navigation vers ses différentes catégories. Pour ce faire, vous pouvez créer des templates d’emails aux couleurs de votre marque pour gagner en cohérence et gagner du temps.

4 – Proposer de la valeur

Vos clients sont assaillis chaque jour par des centaines d’informations à faible valeur ajoutée. Pour que vos messages client ne soient pas perçus comme parasites, il faut sortir du lot avec des contenus réellement utiles pour eux. Toute relation a un intérêt pour les deux parties concernées. Proposer du contenu intéressant à votre audience vous permettra de maintenir leur intérêt. Articles de blog (coucou), livres blancs, newsletters – mais aussi webinaires, stories Instagram et Facebook Lives sont autant de supports qui vous permettront d’apporter à vos clients les informations qu’ils recherchent ou bien de les divertir avec des contenus originaux. Les supports utilisés dépendent de vos produits, de vos clients et de ce que vous préférez utiliser. Quoiqu’il en soit : communiquer sur des sujets autour de votre business démontrera non seulement que vous savez de quoi vous parlez – mais aussi que vous voulez sincèrement aider votre audience. Vous pouvez également créer du contenu autour de la mode – interviews de créateurs, articles sur les prochaines tendances, photos d’un outfit complet – qui les intéressera et renseignera. C’est ce qu’on appelle une stratégie de contenu, ou inbound marketing. Votre client reviennent alors vers vous pour la valeur que vous partagez avec eux, et non parce que vous les avez brutalisés avec des campagnes agressives.

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Coopératives de travail « Coop Canada »

– Qu’est ce qu’une coopérative de travail?

Les coopératives de travail sont des entreprises possédées et contrôlées de façon démocratique par leurs membres. Comme les autres types de coopératives, elles adhèrent à la Déclaration sur l’Identité Coopérative Internationale et les Principes Coopérratifs. L’objectif principal de la coopérative de travail est de créer des emplois pour ses membres. Chaque membre paie une cotisation d’affiliation ou achète des parts sociales et n’a droit qu’à une voix électorale quel que soit le montant d’argent que le membre a investi dans la coopérative. Les actifs de la coopérative appartiennent à la collectivité et les bénéfices de l’exercice sont redistribués aux travailleurs selon des règles établies par la coopérative, souvent selon le nombre d’heures travaillées par les membres et avec des ristournes limitées sur les parts sociales et les prêts des membres.

Les entreprises traditionnelles cherchent à générer du profit pour les actionnaires qui reçoivent leur part de ce profit selon le montant investit par ces actionnaires. Le contrôle de l’entreprise se fait aussi selon le montant d’argent investi, habituellement un vote par action achetée.

– Un membre – un vote

Dans une coopérative de travail chaque membre a droit à un vote, peu importe le nombre de parts sociales qu’il ou elle a acheté. Tous les membres possèdent le même droit de parole sur la façon d’opérer l’entreprise et sur les décisions affectant leur travail quotidien. Les membres combinent leurs talents, leurs intérêts et leurs expériences dans le but d’accomplir des objectifs mutuels, tels que de se créer des emplois, d’offrir des services à la communauté ou d’accroître la démocratie à l’ouvrage. Les membres développent les règles qui déterminent les opérations quotidiennes et à long terme de la coopérative par conséquent la confiance, la communication et la coopération sont d’une importance capitale au succès de la coopérative.

La plupart de nous connaissons les coopératives soit sous une forme ou une autre  financières (caisses populaires), de service (coopératives d’habitation), de consommateurs (magasins coopératifs) ou de producteurs (coopératives de pêcheurs). Toutes ces coopératives offrent des services (crédit, épiceries, distribution) à leurs membres. Leurs membres ne sont pas leurs employés comme c’est le cas dans les coopératives de travail.

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